Jusqu'au 22 juillet ! « Le Chemin Noir », mon premier long
métrage, est disponible sur la plateforme VOD Tënk -> https://www.tenk.fr/cite/le-chemin-noir.html
Allez retrouver l’info sur Facebook, -> https://www.facebook.com/cactuscofilms Likez, partagez, faites
circuler l’info.
Allez donc jeter un oeil sur les programmes proposés
par Tënk: Godard, Rouch, Pelechian,
Marker et des tas d’autres films rares pour 6 euros le mois … Ça ne fait pas cher la séance!
L'avis de Tënk “
"Des indices, des fantasmagories, des souvenirs sombres ou lumineux sont
disposés tout au long de ce très beau film d’Abdallah Badis et cela coïncide
avec l’évanescence fragile de la mémoire. Ici se mêlent à la fois celle intime
du réalisateur, entre nostalgie d’une enfance difficile et questionnement
profond sur son identité actuelle, et celle collective qui a pour décors
communs la guerre d’Algérie, l’émigration et les hauts fourneaux lorrains. Le
chemin est noir car obscurci par les ombres de l’Histoire, par les drames de la
guerre et l’appétit anthropophage des monstres industriels, mais on l’emprunte
sans se perdre, le temps d’un film à la forme plurielle et subtile, car la
mémoire y est vive et l’esprit, vivant.”
et l’avis de critiques de cinéma: Que du beau monde!
« Quelque part entre le conte, la lettre et l’enquête intime, voici un
film dont on sent, avant toute chose, qu’il ne ment pas. » Isabelle Regnier, Le Monde
« Abdallah Badis filme pour sauver sa peau, son âme, son honneur
d’humain. » Olivier Seguret, Libération
« Le cinéma devient ainsi invention d’un espace-temps où les émotions
des humains reconfigureraient les lois de la nature, les séparations entre
passé et présent, entre là-bas et ici. Certains appellent cela poésie. » Jean
Michel Frodon, Slate.fr
« Le film s’engage sur une voie presque burlesque, avec son voyageur
aux faux airs d’Elia Suleiman, posant sur le monde un regard à la fois curieux
et incrédule. » Alice Leroy, Critikat
« Un essai poétique et buissonnier. Cette remémoration en douceur,
qu’on pourrait qualifier de proustienne pour simplifier, est une sorte
d’élégie, un tombeau, au sens littéraire. » Vincent Ostria, Les Inrockuptibles
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