Noir le chemin
... Que dire de plus pour faire comprendre que l’émotion l’emporte pour un bout de temps, et que l’on se réveille, marche dans la rue ou prend un petit café en songeant à ce film? On dirait toujours avec les critiques qu’on peut facilement passer à un autre film parce qu’après tout, le temps passe et les films se suivent. Comment faire alors pour témoigner davantage d’empathie pour ce film? L’envie irrésistible d’aller serrer la main du réalisateur le plus chaleureusement possible et de lui dire que toutes ces inventions nous touchent ne suffirait pas. Une correspondance est tentée sur Critikat, Aragon est cité en parallèle du film, pour faire apparaitre toutes les césures que le film porte en lui comme autant de micro chocs du temps qui s’enfuit... (lire la suite)
lundi 21 mai 2012
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